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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 08:50

Je ne connais pas la signification des paroles, est-ce dommage !!

 

ce que j'aime c'est la mélodie de cette chanson, la voix ivre de whisky et de cigarettes

 

 

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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 09:09

 

 

beaucoup de génie dans ce monde pluvieux,

 

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 08:15


L'absence est une ride du souvenir. C'est la douceur d'une caresse, un petit poeme oublié sur la table (Tahar ben Jelloun)


 

nov-le-croisic-09-305.jpg

 

 

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 10:25
Paroles Herbert Pagani Lecons De Peinture

POESIE CHEZ LES CROQUEURS DE MOTS


Messieurs ! Assez plaisanté !
Chuuut ! Silencio !
Leçon de peinture : première !

Le noir !
Les bleus ! voilà…
Les verts, s’il vous plaît ?
Plus fort, plus de courage…
Les jaunes, les rouges…
Tous ensemble !
Merci messieurs !
Attention…

Quand je sors de Paris, Capitale poubelle,
Quand je fuis ses affiches qui m’engueulent en couleur,
Quand je laisse ses gris dans mon rétroviseur
Pour chanter quelque part, entre Loire et Moselle,
Je découvre ta face balayée d’hirondelles,
Et je redeviens peintre, et j’oublie le chanteur.

Ah ! Les ciels qui me donnent des leçons de peinture.
T’as des ciels, des tableaux de la Révolution.
Tes nuages crachés par d’énormes canons
Se bagarrent si haut quand on passe en voiture,
Qu’on dirait des navires en conquête d’Azur,
Et floconnent si bas, qu’ils me touchent le front.

Tes chaumières ont tout l’air de sortir d’une Bible
Rédigée par les soins d’un Moïse Normand,
Et tes prés sont d’un vert tellement comestible,
Qu’on s’y rêve cheval pour y paître un instant.

T’as des ciels de Vlamenque, mais d’un bleu qui voyage.
T’as des champs de Van Gogh, mais avec des odeurs.
T’as Monnet pour les eaux, les reflets, les vapeurs,
Et ces jungles fleuries dans les gares de village,
C’est tellement du Rousseau qu’on se dit c’est dommage,
Il y manque un lion souriant dans les fleurs.
 
Qu’ils me guident du ciel ou qu’ils soient à mes trousses,
Qu’ils soient d’or ou de cuivre, de brume ou de sang,
Ton soleil me révèle, selon l’heure ou le temps,
Des printemps japonais, des automnes de mousse,
Des étés pissenlits, patronnés par Larousse,
Des novembres de pluie, des hivers de diamants.



Et tes boules de gui suspendues dans le vide
Prouvent bien que la Gaule n’a jamais disparu,
Puisqu’elle est encore là, qui te lance un salut,
De ses mille ballons footballés par les druides.

Et pourtant, moi qui prend tes leçons de peinture,
Moi qui chante ta terre à tes propres enfants,
Moi qui, à force d’amour, ait perdu mon accent,
Et te taille en français des quatrains sur mesure,
Comme bien des amants, j’ai aussi ma blessure,
Que je garde secrète, mais qui saigne pourtant.

M’as-tu bien regardé ? J’ai la boucle Berbère.
M’as-tu bien écouté ? J’ai la voix d’un maçon.
C’est dans l’huile d’olive que je cuis mes chansons,
Et je parle des mains, et j’adore ma mère,
Et j’ai tant de pogromes dans mon cœur millénaire,
Que j’hésite parfois à manger du jambon.

Tu commences à comprendre pourquoi je m’inquiète,
Quand je vois le mépris qu’ont parfois tes enfants,
Pour les Noirs, les Arabes, les Juifs, les Gitans
Qui n’ont pas le talent de passer pour poètes.

C’est au nom de tes ciels aux mouvantes peintures,
C’est au nom des concerts que dirigent tes vents,
C’est au nom de ma chance et de tant de tourments
Que je pose à présent ma question, ma blessure :

Est-ce vrai qu’on t’encombre avec notre nature,
A moins qu’on ne l’exprime d’une scène en chantant.

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 09:43

 

CREDO  ( LUCIEN JACQUES)

 

 

Je crois en l'homme cette ordure,
Je crois en l'homme ce fumier,
Ce sable mouvant, cette eau morte.
Je crois en l'homme, ce tordu,
Cette vessie de vanité.
Je crois en l'homme, cette pommade,
Ce grelot, cette plume au vent,
Ce boute-feu, ce fouille-merde.
Je crois en l'homme, ce lèche sang.
Malgré tout ce qu'il a pu faire
De mortel d'irréparable.
Je crois en lui
Pour la sûreté de sa main,
Pour son goût de la liberté,
Pour le jeu de sa fantaisie.
Pour son vertige devant l'étoile,
Je crois en lui.
Pour le sel de son amitié
Pour l'eau de ses yeux, pour son rire,
Pour son élan et ses faiblesses.
Je crois à tout jamais en lui
Pour une main qui s'est tendue.
Pour un regard qui s'est offert.
Et puis et avant tout
Pour le simple accueil d'un berger.

Lucien Jacques

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 05:42

Le premier mai n'est pas très gai, je trime a dit le muguet

sois pas chicaneur

car tu donnes du bonheur

(G. Brassens)

 

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 01:23


parc-6.3-089.jpg
J'allais au Luxembourg rêver, ô temps lointain,
Dès l'aurore, et j'étais moi-même le matin.
Les nids dialoguaient tout bas, et les allées
Désertes étaient d'ombre et de soleil mêlées ;
J'étais pensif, j'étais profond, j'étais niais.
Comme je regardais et comme j'épiais !
Qui ? La Vénus, l'Hébé, la nymphe chasseresse.
Je sentais du printemps l'invisible caresse.
Je guettais l'inconnu. J'errais. Quel curieux
Que Chérubin en qui s'éveille Des Grieux !
Ô femme ! mystère ! être ignoré qu'on encense !
Parfois j'étais obscène à force d'innocence.
Mon regard violait la vague nudité
Des déesses, debout sous les feuilles l'été ;
Je contemplais de loin ces rondeurs peu vêtues,
Et j'étais amoureux de toutes les statues ;
Et j'en ai mis plus d'une en colère, je crois.
Les audaces dans l'ombre égalent les effrois,
Et, hardi comme un page et tremblant comme un lièvre,
Oubliant latin, grec, algèbre, ayant la fièvre
Qui résiste aux Bezouts et brave les Restauds,
Je restais là stupide au bas des piédestaux,
Comme si j'attendais que le vent sous quelque arbre
Soulevât les jupons d'une Diane en marbre.

V. N HUgo a 15 ans
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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 11:19
Pastelle m'a fait découvrir une sculpture Depuis mon enfance je passe et repasse dans ce jardin, jamais je ne l'avais vue. Elle l'aime dans sa totalité, moi c'est la main qui m'a plu, elle m'a parlé de la solitude.

neige-2010-191.jpg


La solitude c'est une langue étrangère

car cinq devient un!! 1 kg devient 200 grammes

nous, devient je

ils, devient tu

chambre double

devient single avec supplément

jolie table rectangulaire devient impair, 5/7  moche
  plus ou moins doué pour apprendre
C'est tout à coup l'exil dans un pays inconnu
ses mots ne sont ne sont plus les nôtres, on est un peu perdu

au resto, tu traverses une grande salle vide

pour être placée entre les chiottes et la cuisine,

plus loin c’est la cour.

  Non, la solitude n’est agréable pour personne.

  Elle s'enroule , aspire, statufie,
Se nourrit de  nos états d'âme
La fuite, le refuge, l'isolement, le silence
Non pas doué ,ca prends l'eau,  ca coule,

Tu veux t'en sortir, elle te rattrape
  tu appelles, elle raccroche
  Tu la jettes, elle revient, tu l'ignores elle est là,
tu l'écrases, la pilule, la sommeil, la voyage,
elle te colle, comme les bonbons et chamallows que tu t’envoies,

elle est sous tes semelles
dans ta bouche, devant tes yeux
elle transpire à ta place

Tu veux fondre, elle t'en empêche, elle te glu,
elle te caramélise, elle te muetise, te coupe, t'évince, te rend insupportable,
elle est devenue toi, te supplante,
C'est une secte avec beaucoup d'adeptes, une dope, un shoot,
c'est une religion sans amour

  tu manges dans le papier gras du jambon,

tu te colles un masque vert sans gêner personne,

tu ne te laves pas le dimanche

  Monstrueuse comme la pieuvre, tentaculaire, un jour elle te prend la main, puis le corps, puis le cœur, puis l'âme, puis t' avale, t'es foutu. Il n’y a vraiment personne  pour empêcher tout ca ?

Nicole F


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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 00:00

Image du Blog iledebeaute.centerblog.net


EN MUSIQUE  JE VOUS SOUHAITE A TOUTES ET TOUS LA PLUS DOUCE des ANNEES TENDRESSE PARTAGE AMITIES PEPETTES

  même tout petit, mettre en place la réalisation d'un rêve,

Les épines, ça ne sert à rien, c'est de la pure méchanceté de la part des fleurs !  (Le Petit prince)

 


 

 beaucoup de joie et d'amour, faites comme les abeilles, plein les poches

JOIE JOIE JOIE

 

balaruc aout 2009 079




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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 18:13

sans parole
chaises vides
dernier marathon








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