je ne vous oublie pas, voilà une chanson très sympa...
pour la journée
je ne vous oublie pas, voilà une chanson très sympa...
pour la journée
Une histoire qui va vous scier !
Depuis le XIIème siècle, l’histoire de la bûche de Noël se nourrit des traditions. Symbole du foyer, réchauffant la maisonnée dans la rigueur de l’hiver, elle était traditionnellement coupée avant le lever du soleil, de préférence dans un vieil arbre fruitier, puis bénie par les plus anciens avant d’être brûlée.
Aucun instrument ne devait la toucher : il fallait donc l’entretenir à mains nues ! Sa taille, la plus importante possible, devait permettre de la laisser brûler pendant la veillée de Noël et le réveillon, dans l’âtre de la cheminée familiale. Les cendres étaient récupérées pour préserver de tous les fléaux menaçant potentiellement la maison.
L’histoire de la bûche de Noël ne s’arrête pas là : les celtes la célébraient en l’honneur du solstice d’hiver ; les chrétiens associèrent la bûche dans l’âtre représentait l’étable où Jésus était né ; et d’autres, plus superstitieux, confiaient à la bûche la protection de leur maison contre le malheur et les mauvais sorts. Il y a même une version qui raconte que l’on mettait autant de bûche à brûler que d’habitants dans la maison, et que sa façon de brûler annonçait les gros événements de l’année.
La date de naissance du dessert qui a permis de continuer à célébrer symboliquement ce rituel varie selon les sources : certains évoquent sa création vers 1834 par un des ouvriers pâtissiers de La Vieille France à Paris, d'autres son invention vers 1945 par un pâtissier de la société Colibri et quelques-uns la tradition d'un "gâteau roulé de Noël" dans la région Poitou-Charentes depuis le 19ème siècle.
Le XIXème siècle arriva avec ses gros poêles en fonte, et l’histoire de la bûche de Noël prit un tournant plus décoratif… On plaça alors une bûche en bois plus petite au centre des tables, rehaussée de bougie et de décorations
Histoire de la bûche de Noël
Les gourmands ont pris le relais !
Aujourd’hui, la bûche a pris ses lettres de noblesse dans nos assiettes, sous la forme d’une délicieuse pâtisserie que l’on connaît bien ! Un certain pâtissier l’inventa en 1945, et depuis elle trône au dessert et ce n’est pas demain qu’elle cédera sa place !
(Photos du net)
vous avez la recette qui va bien, la fastoche, l' inratable, la délisiouze, ne la gardez pas pour vous, d'ac ?? ensuite on goute
> > > Dimanche 30 octobre 2011> >
l’âge aidant, vous vous posez certainement à chaque fois la grande question
lorsque vient le temps de changer l'heure :
" On avance ou on recule ? "
> > >
> > > Voici un truc infaillible :
> > > ...en OCTOBRE : se terminant par RE on recule l'heure
> > >
...en AVRIL: débutant par AV on avance l’heure.
> > >
> > >
> > > Fastoche....... mais vais-je m'en souvenir...
??? et vous..... !!!
Maintenant nous pouvons nous remettre à cuisiner au four, pour réchauffer la maison, les papilles et le cœur
Préparation : 10 m
Cuisson : 1 h
Ingrédients pour 6 gourmands (on a presque tout ça à la maison)
1 pâte feuilletée
1 boite de poires au sirop
80 gr de beurre
100 gr de sucre
200 gr chocolat dessert noir, mais j’imagine qu’avec du praliné c’est pas mal non plus
15 cl de crème liquide en briquette
3 œufs
20 g de cassonade
Préparation
Préchauffer le four à 200° (thermostat 6/7)
Fondre le choc avec le beurre au micro-ondes
Mettre la pâte dans un moule à tarte en gardant le papier sulfurisé
Verser le choc sur le fond puis déposer les poires, soit par demi poires, ou en lamelles suivant le goût de chacun
Battre les œufs, le sucre et la crème
Verser le tout sur les poires et le chocolat
Enfourner pour une heure. Baisser un peu le four si trop chaud.
pendant ce temps Mahé fait des cookies pour ses amies
Bon appétit
non ce n'est pas le titre de la célèbre série,
je vous souhaite un week end tendre
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http://ndll.eklablog.com/
je vous dirai tout quand ce sera le moment quand je dirai bye bye OB